Fanny a 34 ans et vit entre Paris, Palma de Mallorca et Sanary sur Mer dans le Var. Son petit triangle d’or en quelque sorte !
Pour faire plaisir à son père, elle passe un concours d’école de commerce, l’Inseec Paris mais très vite, Fanny a besoin de partir à sa propre rencontre et de repousser ses limites. Alors elle part en Australie avec l’objectif d’obtenir un MBA. À cette époque, elle n’a pas la moindre idée de ce qu’elle veut faire, à part « utiliser les langues vivantes et voyager » !
En parallèle, Fanny est la cofondatrice des Exploratrices, la première communauté féminine française passionnée par le voyage sous toutes ses formes.
Fanny a la bougeotte. Dans le futur, elle aimerait bien s’expatrier. Du moins pour un temps. Cela fait des années que cette idée lui trotte dans la tête. Plus exactement, depuis son année en Australie en 2006. Pourquoi ne pas en profiter par la même occasion, pour élever WanderHumanity à l’échelle mondiale ?!
Sinon dans le futur, Fanny se voit bien créer une famille et vivre dans une maison face à la mer ! On valide !
Une peur ? La peur de manquer d’argent… on nous apprend tellement que c’est le nerf de la guerre alors que… pas seulement ! L’argent c’est à la fois une récompense et une carotte pour avancer. Qui n’a jamais hésité à lâcher un job de peur de manquer d’argent ? Bonne nouvelle : quand on est sur sa voie, tout est plus fluide, les opportunités abondent et il est plus facile d’en recevoir !
Un rêve ? Celui d’impacter le monde à travers les femmes en leur permettant de voir leur valeur et d’être plus alignées dans leur vie. Et comme je crois VRAIMENT que la conscience crée, alors je fais et refais ce rêve à l’infini !
Un échec ? Une relation amoureuse désastreuse, vouée à l’échec avant même le premier baiser, mais il fallait que je me casse les dents pour connaître la résilience. Je suis finalement contente que ça me soit arrivé à 25 ans…
Une réussite ? Lâcher ma vie « parfaite » à Paris pour vivre dans un meublé de 35 m2 dans le Var et créer ma société WanderHumanity. C’est beaucoup plus risqué mais l’audace paie !
Un regret ? Je n’en ai pas. Ce sont les moments les plus durs qui m’ont forgée telle que je suis et les moments heureux qui m’emplissent de joie et d’amour. J’espère pouvoir en dire autant à la fin de ma vie !
Une héroïne ? Ma meilleure amie Maylis. Tellement inspirante et pleine de vie, toujours là pour les autres, toujours partante, toujours souriante. C’est elle qui m’a appris l’expression Carpe Diem… j’avais 13 ans !
Dernier truc qui t’a inspiré ? Un concours pour faire éditer mon livre sur les femmes inspirantes. Ça m’a boostée pour terminer sa rédaction cet été !
Une manie ? Je note tout dans mon agenda.
Une habitude ? Je regarde mon téléphone dès que j’ouvre les yeux avant de faire mes routines matinales (j’essaie d’inverser mais c’est dur !)
Un livre de chevet ? Je lis actuellement « et la lumière fut » de Jacques Lusseyran. Sinon j’ai une pile de 18 livres qui m’attendent !
Une musique ? « je l’aime à mourir » de Francis Cabrel et « Caroline » de MC Solaar.
Quelque chose à ajouter ? « Tout est possible ! » C’est mon mantra
Ma promo ? Retrouvez les projets de Fanny sur l’Incroyable Internet !
Sur le site WanderHumanity ou sur Instagram et Facebook !
Sur le site des Exploratrices, aussi sur Instagram et sur Facebook !
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Pour participer, aucune condition. Il suffit juste d’être vous ! Et de nous accorder un peu de temps pour une interview 😉
Un portrait signé Sophie Astrabie.